Photo : Jonathan Lovekin
Donne 2 portions
Ingrédients
- 2 c. à soupe d’huile d’arachide
- 1/2 oignon, coupé en dés
- 220 g de tofu ferme, coupé en bâtonnets de 1 cm (1/2 po) d’épaisseur
- 125 ml (1/2 tasse) de haricots verts, parés, coupés en deux à la diagonale
- 250 ml (1 tasse) de choi sum (ou de bok choy) (feuilles et tiges), coupé en gros morceaux
- 300 g de nouilles aux œufs fraîches
- 1 1/2 c. à thé de coriandre moulue
- 1 c. à thé de cumin moulu
- 2 c. à thé de sambal oelek (ou autre pâte de piments), et un peu plus pour le service
- 2 c. à thé de sauce soya épaisse
- 2 c. à thé de sauce soya légère
- 1 c. à soupe d’eau
- 50 g de fèves germées
- poignée de laitue iceberg, déchiquetée
- 1 c. à soupe d’échalotes frites croustillantes (on les trouve dans les épiceries orientales) ou de flocons d’oignons déshydratés quartiers de citron pour le service
Instructions
- Placez un wok ou une grande casserole sur feu vif. Une fois le wok chaud, ajoutez l’huile, puis l’oignon. Faites cuire l’oignon environ 1 minute, ou jusqu’à ce qu’il soit légèrement attendri. Ajoutez le tofu et les haricots verts, et faites-les cuire de 2 à 3 minutes, jusqu’à ce que le tofu soit légèrement doré ; remuez délicatement pendant la cuisson en essayant de ne pas briser le tofu.
- Ajoutez ensuite le choi sum. Lorsqu’il a ramolli, ajoutez les nouilles en les étalant avec soin dans le wok à l’aide d’une pince ou de grosses baguettes de bois, afin qu’elles absorbent beaucoup de chaleur, au point presque de frire. Faites cuire les nouilles environ 2 minutes en les remuant délicatement. Ajoutez les épices, le sambal oelek, les sauces soya, l’eau et les fèves germées et mélangez soigneusement. Faites cuire environ 1 minute, ou jusqu’à ce que les nouilles soient à demi ramollies.
- Au moment de servir, recouvrez les nouilles de laitue et transférez la préparation dans des bols individuels. Parsemez d’échalotes frites croustillantes. Accompagnez de quartiers de citron et d’un minibol de sambal oelek.
Note du chef
La Malaisie fourmille de kiosques de bouffe à ciel ouvert qui proposent des plats rapides, peu chers et incroyablement délicieux, aux parfums tant malaisiens que chinois ou indiens. Un concept de loin supérieur à la malbouffe occidentale. Helen Goh, ma guide durant mon aventure malaisienne, et sa sympathique famille, les Lees, m’ont révélé plusieurs secrets culinaires. Le mee goreng, un plat malaisien, ne prend que quelques minutes à cuire une fois la mise en place effectuée. Mais ses saveurs sont riches et complexes. Si vous voulez servir plus de deux personnes, il faut répéter toute l’opération, un seul wok ne pouvant contenir le double des quantités.
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